Le fil conducteur du spectacle a été l’expression de toutes les individualités au sein d’un collectif.

La première saynète est une mise en abîme, l’idée est d’aborder la citoyenneté du point de vue des enfants et de mettre en valeur les diverses individualités qui s’expriment dans une société (de façon un peu caricaturale bien sûr, sinon ce n’est pas drôle).

L’anarchiste, l’abstentionniste, l’écologiste, ceux qui préfèrent l’ordre, la dictatrice, la petite brute, la poétesse/rêveuse, la pacifiste, la personne toujours raisonnable et sensée… Tout ça pour se questionner sur le citoyen, sur le fait que c’est à la fois avoir des droits et des devoirs mais que c’est surtout la liberté de s’exprimer, la possibilité de dialoguer et de défendre ses idées.

Puis est venue la saynète des pompons et des casquettes, issue d’un recueil de scènes de théâtre pour enfants.

Ce qui a été apprécié, c’est qu’elle parle de rivalité et de football. Il faut savoir que le foot a une place assez centrale lors des récréations et déchaîne les passions..  La mise en scène des pompons et casquettes fut le plus gros challenge car gérer 34 enfants sur scène, de 5 à 11 ans n’a pas toujours été simple. Mais c’est un choix assumé, afin que tous participent et puissent s’exprimer durant ce spectacle. On y voit bien « l’expression des individualités au sein d’un collectif ».

Enfin, l’idée de la chanson en anglais s’est rapidement imposée et le choix de « Imagine » de John Lennon fut évident. Pour la beauté de cette chanson et le message d’espoir qu’elle dégage, encore une fois à propos du vivre ensemble.

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